A toute heure de la journée, la région du Grand Ajaccio et plus précisément Ajaccio même, est un véritable trésor. Alors qu'un voile bleuté estompe reliefs et perspectives à l'aube, à l'heure du crépuscule il s'avère saisissant. C'est en effet, dans un éphémère flamboiement que le jour se dissout.

Pour ce qui est de la ville d'Ajaccio, elle est le porte drapeau de la douceur de vivre insulaire. Il est par exemple, agréable de se balader sur le vieux port et d'y observer les bateaux colorés derrière lesquels se profile la citadelle, ainsi que les pêcheurs et leurs filets.

La vieille ville d'Ajaccio propose une palette de gris, de jaunes nuancés d'ocre doux, de roses passés. Ces teintes parfois ravivées ou non au cours d'un ravalement, mettent à mal l'expression «Ajaccio la blanche», si souvent évoqués dans les guides et dépliants touristiques à propos de la cité impériale.

Au nord d'Ajaccio, les visiteurs auront tout le loisir de s'imprégner de la nature environnante de la micro-région de la Cinarca et du Cruzzini. Toutes deux sont parsemées de villages charmants et authentiques, entourés pour leur part d'un environnement préservé. Située au cœur d'oliviers, d'amandiers, de figuiers, de noyers et autres cédratiers, la micro-région de la Cinarca trouve ses limites aux pieds des crêtes rocheuses et du maquis. semés de villages charmants, occupée de terrasses plantées d'oliviers, de noyers, d'amandiers, de figuiers ou de cédratiers, elle est délimitée par des crêtes rocheuses et cernée par le maquis.
Envie de littoral ? Les plages du Liamone et de Sagone, ou encore le golfe de la Liscia seront parfaites !


A ne pas manquer également les vallées de la Gravona et du Prunelli. Alors que la première semble vouée à la culture (principalement viticole), la deuxième constitue une escapade parfaite au cœur de châtaigneraies et de pommeraies.